C'est ce que rapportait le NY Times hier. Ce serait donc une augmentation de 8 millions par rapport à cette année. Pour les clubs les plus riches, c'est une excellente nouvelle. Les Rangers, les Red Wings, les Maple Leafs et autres disposeront de beaucoup plus d'argent que prévu pour signer les Brière, Drury, Gomez, Rafalski, Timonen etc.
Mais on peut se poser une question: que reste-t-il des gains du lock-out?
Les Blues de St-Louis sont en difficultés financières. Ils ont déjà annoncé qu'ils limiteraient leurs dépenses salariales à 38 millions l'an prochain. C'est 14 millions de moins que ce que dépensera leur rival de Detroit dans la division Centrale. D'autres équipes comme Buffalo et Caroline n'augmenteront pas leurs dépenses en salaires, peu importe où se situera le cap, ils se maintiendront à 42-44 millions, soit 10 millions de moins que Toronto ou NYR. On a une ligue à deux vitesses où des milliardaires se battent contre des assistés sociaux (c'est vraiment le cas avec l'instauration du système de partage des revenus).
Et dire qu'on parle du retour du hockey à Winnipeg et Québec...
Une augmentation du plafond salarial entraîne aussi une augmentation du salaire maximum qui peut être versé à un joueur et qui est établi à 20% de la masse salariale. Un seul joueur pourrait donc gagner 10,4 millions l'an prochain.
Ce nouvel argent disponible pour les équipes les plus riches créera une immense pression à la hausse sur les salaires des joueurs autonomes cet été. Il faut s'attendre à plusieurs signatures qui nous laisseront pantois. Samsonov à 3,5 millions nous paraîtra peut-être alors une aubaine.
Mais rien n'est confirmé pour l'instant. On sait que la décision revient à la NHLPA qui peut demander l'augmentation du cap salarial en fonction de l'augmentation des revenus globaux des propriétaires.
Mais pour Bob Gainey, il s'agirait, au moins à court terme, d'une excellente nouvelle puisque l'erreur Samsonov serait soudainement noyée dans une abondance d'argent à dépenser. Il pourrait même donner raison à Pierre Boivin qui nous promettait un joueur autonome de premier plan. Gainey pourrait par exemple, s'il ne resigne pas Souray, avoir suffisemment d'argent pour offrir 6,5 millions à Brière et 4,5 millions à Stuart ou Timonen pour remplacer Souray....
Ça pourrait également l'aider à déménager ses cas problèmes. Les 4,5 millions de Kovalev ou les 3,5 millions de Samsonov deviennent beaucoup plus facile à refiler. Tout comme les 7,8 millions de Brad Richards. Plusieurs transactions pourraient ainsi soudainement débloquer.
Mais combien de temps le CH pourra-t-il suivre la hausse du cap salarial? La plus haute masse salariale qu'ait eu le Canadien a été de 48,6 millions en 2002-2003. C'était pourtant énormément moins que les 68 millions des Red Wings ou les 69,2 millions des Rangers. Jusqu'où Georges Gillett sera-t-il prêt à aller?
Mais on peut se poser une question: que reste-t-il des gains du lock-out?
Les Blues de St-Louis sont en difficultés financières. Ils ont déjà annoncé qu'ils limiteraient leurs dépenses salariales à 38 millions l'an prochain. C'est 14 millions de moins que ce que dépensera leur rival de Detroit dans la division Centrale. D'autres équipes comme Buffalo et Caroline n'augmenteront pas leurs dépenses en salaires, peu importe où se situera le cap, ils se maintiendront à 42-44 millions, soit 10 millions de moins que Toronto ou NYR. On a une ligue à deux vitesses où des milliardaires se battent contre des assistés sociaux (c'est vraiment le cas avec l'instauration du système de partage des revenus).
Et dire qu'on parle du retour du hockey à Winnipeg et Québec...
Une augmentation du plafond salarial entraîne aussi une augmentation du salaire maximum qui peut être versé à un joueur et qui est établi à 20% de la masse salariale. Un seul joueur pourrait donc gagner 10,4 millions l'an prochain.
Ce nouvel argent disponible pour les équipes les plus riches créera une immense pression à la hausse sur les salaires des joueurs autonomes cet été. Il faut s'attendre à plusieurs signatures qui nous laisseront pantois. Samsonov à 3,5 millions nous paraîtra peut-être alors une aubaine.
Mais rien n'est confirmé pour l'instant. On sait que la décision revient à la NHLPA qui peut demander l'augmentation du cap salarial en fonction de l'augmentation des revenus globaux des propriétaires.
Mais pour Bob Gainey, il s'agirait, au moins à court terme, d'une excellente nouvelle puisque l'erreur Samsonov serait soudainement noyée dans une abondance d'argent à dépenser. Il pourrait même donner raison à Pierre Boivin qui nous promettait un joueur autonome de premier plan. Gainey pourrait par exemple, s'il ne resigne pas Souray, avoir suffisemment d'argent pour offrir 6,5 millions à Brière et 4,5 millions à Stuart ou Timonen pour remplacer Souray....
Ça pourrait également l'aider à déménager ses cas problèmes. Les 4,5 millions de Kovalev ou les 3,5 millions de Samsonov deviennent beaucoup plus facile à refiler. Tout comme les 7,8 millions de Brad Richards. Plusieurs transactions pourraient ainsi soudainement débloquer.
Mais combien de temps le CH pourra-t-il suivre la hausse du cap salarial? La plus haute masse salariale qu'ait eu le Canadien a été de 48,6 millions en 2002-2003. C'était pourtant énormément moins que les 68 millions des Red Wings ou les 69,2 millions des Rangers. Jusqu'où Georges Gillett sera-t-il prêt à aller?
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