L'agent de Brisebois, Don Meehan, et Bob Gainey vont se rencontrer ce matin pour régler les dernières formalités au contrat de Brisebois. Ces formalités, ce sont les bonis de performance qui pourront gonfler légèrement le salaire de Brisebois.
C'est François Gagnon qui rapporte la nouvelle. Il semble penser que l'ajout de Brisebois servira à "coacher" les jeunes défenseurs de l'équipe et à évoluer sur la deuxième vague d'avantage numérique.
À la recherche d’une police d’assurance pour encadrer ses jeunes défenseurs et surtout pour assumer une partie des responsabilités laissées libres en attaque massive depuis le départ de Sheldon Souray, le directeur général du Canadien Bob Gainey a offert un contrat d’une saison à Brisebois qui toucherait un salaire de base de 700 000 $.
Or, voici la question : de quels jeunes parle-t-on? L'arrivée de Patrice Brisebois, à moins qu'elle ne soit jumeler à l'échange de deux des défenseurs actuels du CH, vient justement fermer la porte à l'insertion des Côté, Valentenko ou O'Byrne qui auraient pu être prêts à jouer quelques minutes dans la LNH.
Brisebois évoluera vraissemblablement au sein d'une brigade défensive comptant Markov, Komisarek, Hamrlik, Bouillon, Dandenault et Streit. Le plus jeune, Komisarek, n'a vraissemblablement pas besoin du coaching de Patrice!
Bien sûr, il pourra être utile sur le jeu de puissance, mais on aurait aussi pu s'en passer. Le général bien sûr est Andrei Markov. Hamrlik et Streit peuvent aussi très bien faire au point d'appui. Pour l'autre, j'aurais mis Kovalev. Même que je laisserais Kovalev s'amuser à la pointe droite pour la durée complète de tous les avantage numériques. Il pourrait utiliser son lancer frapper de la ligne bleue, ou encore s'avancer pour décocher de l'enclave son puissant lancer du poignet, sa meilleure arme. Aucun joueur adverse ne le presserait, par respect pour son talent, ce qui donnerait tout le loisir à ses coéquipiers de se démarquer dans l'enclave. Il apporterait également beaucoup de mouvement sur le jeu de puissance, en transportant la rondelle en longueur et en largeur, ce qui déstabilise les défensives adverses.
Enfin, bref, tout ça pour dire qu'on pourrait très bien se passer de Brisebois à Montréal. Surtout que, dès la première séquence de 4-5 défaites du club, son cauchemard de sa dernière saison à Montréal se reproduira. Les imbéciles qui le huaient ont toujours leurs billets de saison.
Reste seulement à espérer que son arrivée soit accompagnée d'une transaction. Ça aidera à faire "passer le pillule".
C'est François Gagnon qui rapporte la nouvelle. Il semble penser que l'ajout de Brisebois servira à "coacher" les jeunes défenseurs de l'équipe et à évoluer sur la deuxième vague d'avantage numérique.
À la recherche d’une police d’assurance pour encadrer ses jeunes défenseurs et surtout pour assumer une partie des responsabilités laissées libres en attaque massive depuis le départ de Sheldon Souray, le directeur général du Canadien Bob Gainey a offert un contrat d’une saison à Brisebois qui toucherait un salaire de base de 700 000 $.
Or, voici la question : de quels jeunes parle-t-on? L'arrivée de Patrice Brisebois, à moins qu'elle ne soit jumeler à l'échange de deux des défenseurs actuels du CH, vient justement fermer la porte à l'insertion des Côté, Valentenko ou O'Byrne qui auraient pu être prêts à jouer quelques minutes dans la LNH.
Brisebois évoluera vraissemblablement au sein d'une brigade défensive comptant Markov, Komisarek, Hamrlik, Bouillon, Dandenault et Streit. Le plus jeune, Komisarek, n'a vraissemblablement pas besoin du coaching de Patrice!
Bien sûr, il pourra être utile sur le jeu de puissance, mais on aurait aussi pu s'en passer. Le général bien sûr est Andrei Markov. Hamrlik et Streit peuvent aussi très bien faire au point d'appui. Pour l'autre, j'aurais mis Kovalev. Même que je laisserais Kovalev s'amuser à la pointe droite pour la durée complète de tous les avantage numériques. Il pourrait utiliser son lancer frapper de la ligne bleue, ou encore s'avancer pour décocher de l'enclave son puissant lancer du poignet, sa meilleure arme. Aucun joueur adverse ne le presserait, par respect pour son talent, ce qui donnerait tout le loisir à ses coéquipiers de se démarquer dans l'enclave. Il apporterait également beaucoup de mouvement sur le jeu de puissance, en transportant la rondelle en longueur et en largeur, ce qui déstabilise les défensives adverses.
Enfin, bref, tout ça pour dire qu'on pourrait très bien se passer de Brisebois à Montréal. Surtout que, dès la première séquence de 4-5 défaites du club, son cauchemard de sa dernière saison à Montréal se reproduira. Les imbéciles qui le huaient ont toujours leurs billets de saison.
Reste seulement à espérer que son arrivée soit accompagnée d'une transaction. Ça aidera à faire "passer le pillule".
2 commentaires:
Ce sera un jour sombre pour le CH. L'Avalanche n'était pas intéressé à garder Brisebois... pourquoi selon vous?
Je me demande si Bob a regardé toutes les options avant d'approcher Brisebois... A-t-il pensé à Peter Popovic...Dave Manson... Kevin Haller... Zarley Zalapski... Robert Dirk... ou le prolifique québécois... Christian Laflamme... David Wilkie... le russe que je ne me rappelle plus de son prénom mais qui avait des longs cheveux... qque chose Kiprussof... Josh De Wolfe...Petr Svoboda...Rob Ramage...Ulanov...Lyle Odelein...Murray Baron...Rory Fitzpatrick... JJ Daigneault...ou encore... Gerald Diduck... encore mieux, Sylvain Lefebvre, ou Jirke Lumme... et finalement pkoi pas Craig Ludwig ou le retour sur patins de Rick Greene!!!
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